Retrouvez en version poche le recueil de chroniques de François Morel Je rigolerais qu’il pleuve.
Diffusées sur France Inter entre 2013 et 2015, ces textes aussi bien politiques que drôlatiques vont vous faire savourer l’art de tordre et d’entrechoquer les mots.
« Le vendredi, c’est le jour où je branche mon réveil pour ne pas louper les chroniques de François Morel sur France Inter… Pendant quelques minutes, François nous réconcilie avec la réalité qui nous entoure, il met du baume sur notre mal au monde ».
C’est Yolande Moreau, l’amie de toujours, qui parle ainsi, et ils sont nombreux ceux qui, comme elle, attendent leur indispensable bouffée d’air frais, leur dialyse, leur dose d’antidote à la morosité ambiante.
À travers ses chroniques, François Morel redessine les contours du quotidien et nous fait rire de nous-même comme des autres.
Qui au Panthéon ? Une dépouille populaire. Un trépassé mais renommé. Un genre de mortel immortel. Donc pas trop vieux. Pour les canards, pour la télé, faut pas du mort trop oublié, trop effacé, trop négligé. Faut un vécu de démocrate mais qui puisse faire de l’audimat. Faut pas non plus du mort trop jeune. Qui soit fringant. Ou trop pimpant. Faut pas du mort qui soit trop frais. Du mort qui viendrait d’être fait. Encore tout beau. Encore tout chaud. Faut pas du mort qui bande encore.
Quelques bonus à découvrir dans cette nouvelle édition : la lettre à Patrick Pelloux, l’évocation du pont des Arts, l’ode à Luchini, la fête du slip, quelques nouvelles du bon Dieux et le fameux « Merci au pigeon » qui, lors de la grande manifestation du 16 janvier 2015, avait heureusement réenclenché la machine à rire.
À la fois comédien, chanteur et chroniqueur, François Morel fait mouche à tous les coups. Retrouvez ses chroniques joyeuses et corrosives tous les vendredi matins sur France Inter dans le 7/9 de Patrick Cohen.
