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Concerto pour clarinette et orchestre – Quintette pour clarinette et cordes, Mozart

Patrick Messina (artiste musical)
,
Riccardo Muti (sous la direction de)
,
Orchestre National de France (interprète principal)
Il se dit que Mozart éprouvait un véritable amour pour la clarinette, dont il fit le héros «des Quilles», du Quintette pour clarinette et cordes K 581, et bien évidemment du Concerto K 622 daté de 1791. En 2007, au théâtre des Champs-Élysées à Paris, Riccardo Muti à la tête de l’Orchestre National de France fit appel à Patrick Messina pour exécuter cette œuvre avec une approche unique nimbée de tristesse. Lire la suite
Parution : 23.10.2012
Distributeur : Harmonia Mundi
ISBN : 3149028025224
Référence : FRF009

1 CD – 58’49 – Sortie le 23 octobre 2012

prix conseillé : 15

Patrick Messina, clarinette.
Orchestre National de France, direction Riccardo Muti.
Philarmonia Quartett Berlin :
Daniel Strabawa, Christina Stadelmann, violons | Neithard Resa, alto | Jan Diesselhorst, violoncelle.

Il se dit que Mozart éprouvait un véritable amour pour la clarinette, dont il fit le héros «des Quilles», du Quintette pour clarinette et cordes K 581, et bien évidemment du Concerto K 622 daté de 1791.
En 2007, au théâtre des Champs-Élysées à Paris, Riccardo Muti à la tête de l’Orchestre National de France fit appel à Patrick Messina pour exécuter cette œuvre avec une approche unique nimbée de tristesse.

Le public et la critique furent conquis comme en témoigne l’article d’Alain Cochard : «Plutôt que la gravité, c’est la vraie nature du Concerto que Patrick Messina exalte ; sa fascinante et ineffable ambiguïté de sentiment. Je n’insiste pas sur les moyens techniques supérieurs que le soliste déploie, sur un contrôle parfait du son. Seuls importent le lyrisme et le raffinement de son interprétation. Le Mozart de Patrick Messina respire avec beaucoup de naturel et l’équilibre global de l’ouvrage est préservé par un Allegro final que les interprètes s’attachent à ne pas précipiter, après un Adagio ému mais fuyant les gros sentiments. L’épure, les subtiles demi-teintes de cette conception semblent appartenir à un autre monde. On en gardera longtemps le souvenir, tout comme sûrement Patrick Messina celui d’un déluge d’applaudissements mérités que Riccardo Muti, caché parmi les violons de l’orchestre debout, le laissait savourer à plein au moment des saluts». (Classiquenews.com)

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