Olga Neuwirth livre une musique qui dérange. Qui se veut rude, brutale, véhicule de colère et d’angoisse. Est-ce un hasard si l’Autrichienne a puisé chez David Lynch, Paul Auster ou Elfride Jelinek ? La 35e édition du festival Présences brasse ce corpus en ébullition, pétri de références littéraires, cinématographiques, qui en appelle à l’orchestre comme à l’électroacoustique et ne recule devant aucune expérimentation ni alliage nouveau. On y attend créations, confrontations avec ses maîtres (Tristan Murail, Pierre Boulez), météorites de sa galaxie, et même Franz Schubert et Klaus Nomi.
Créations mondiales, premières françaises, digression schubertienne, hommage à Klaus Nomi : un Présences plus vivifiant que jamais.
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