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France Inter // Podcast "Espions, une histoire vraie", 4 nouveaux épisodes, dès aujourd'hui

Publié le 24.01.2024

« Espions, une histoire vraie » une série de podcasts France Inter
« Espions, une histoire vraie » une série de podcasts France Inter © Radio France
 
 

COMMUNIQUE DE PRESSE

Mercredi 24 janvier 2024

 

 

 

 

« Espions, une histoire vraie »

La série de podcasts de Stéphanie Duncan

4 nouveaux épisodes à découvrir dès maintenant 

sur l’application Radio France et sur franceinter.fr

 

 

 

Le podcast aux 4,5 millions d’écoutes, lauréat du Grand Prix de l'Académie du Renseignement 2023 et qui avait donné lieu à un livre en 2022 (Tallandier), revient en ce début d’année avec quatre nouveaux portraits d’espions racontés par Stéphanie Duncan, pour vivre des histoires faites de trahisons, de mensonges et de missions périlleuses.

 

 

Espions, une histoire vraie, les 4 nouveaux épisodes :

 

Lionel Crabb, homme-grenouille et espion au service de Sa Majesté

Personnage de légende au Royaume-Uni à cause de ses années héroïques pendant la Seconde Guerre mondiale, Lionel Crabb l’est plus encore à cause de sa disparition, le 17 avril 1956, dans le port de Portsmouth où mouillait un croiseur soviétique. Le monde découvrait que le célèbre homme grenouille travaillait aussi pour le MI6, le renseignement britannique. Crabb a-t-il été tué ou enlevé par le KGB ? A ce jour, sa disparition demeure l'un des plus vieux mystères de la guerre froide.

 

 

Ryszard Kuklinski officier polonais pendant la guerre froide et agent double pour la CIA

De 1972 à 1981, cet officier de l’état-major polonais, convaincu que l’URSS allait déclencher une guerre nucléaire, a fourni des milliers de documents classifiés à la CIA. Et en 1981, dans l’effervescence de la création par Lech Walesa du syndicat Solidarnosc, c’est Kuklinski qui a averti la CIA de l’instauration de la loi martiale en Pologne. Sur le point d’être découvert, Kuklinski a été exfiltré avec sa famille vers l’Ouest.

 

  

Colonel Passy, maître-espion de de Gaulle et héros de la France Libre

En juillet 1940 à Londres, c’est ce jeune homme de 29 ans que de Gaulle choisit pour créer et diriger les services secrets de la France libre. Il ne connaît rien à l’espionnage, pourtant André Dewavrin, alias Passy, se révèlera un excellent et redoutable maître-espion. Grâce au BCRA créé par Passy, le général de Gaulle pourra asseoir son autorité politique dans la Résistance et en 1945 se faire accepter à la table des vainqueurs. Mais à la Libération, ce résistant à la réputation sulfureuse verra sa carrière politique brisée net par une affaire de corruption.

 

 

Antoine Méléro, flic, détective et tueur du SDECE

Dans les années 1950, Antoine Méléro jeune pied-noir du Maroc, policier à Casablanca, a appartenu à la Main rouge, une organisation mystérieuse qui commettait des assassinats pour empêcher les indépendances en Tunisie, au Maroc et en Algérie. Mais on l’apprendra plus tard : la Main rouge était en réalité un bras armé du SDECE, les services secrets français, obéissant directement aux ordres du pouvoir. Plusieurs fois inculpé de complicité d’homicide, Antoine Méléro, dit « le roi du non-lieu », reconnaîtra dans un livre avoir participé à de nombreux assassinats, au nom de la France.

 

 

 

« Espions, une histoire vraie »

Un podcast de Stéphanie Duncan

Réalisation : Audrey Ripoull