Habité par la poésie minimaliste du « presque rien », le monde intérieur de Bruno Angelini convoque l’espace de la nature. En confiant aux membres de son quartet une palette de modes de jeu inhabituels dans le jazz, le pianiste joue avec le silence et la résonance.
Le champ poétique irrigue tout autant les compositions de Sarah Murcia. Si elle trouve ses marques dans des aventures aussi diverses que celles de Rodolphe Burger, Kamilya Jubran ou Louis Sclavis, la contrebassiste aime aussi imaginer son propre territoire, évoquer William Faulkner ou investir « à vue d’œil » un quartette original, sans tambour ni trompette – avec saxophone, piano et tuba.
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